La correspondance de Marat

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INTRODUCTION XYIL

m'empresse d'inviler le cher patriote S. Huruge à tirer ses concitoyens de peine sur son long silence ‘.. J'invite tous les bons citoyens à se présenter en nombre suffisant pour être écoutés ?.. Je félicite votre bataillon de cette expédition honorable, et Jinvite celui de la Sorbonne à l’imiter*.. Je somme ici le maire de faire consigner‘... Nous invitons les sections du Théâtre-Français et de SaintJacques ‘.… Citoyens, voilà un échantillon des horreurs®.… J'invite (ous les bons citoyens de Chantilly à surveiller leur curé’... Dans l'impuissance de me rendre à mon poste, je somme Thuriot, Saint-Just, Laignelot, de prendre les moyens les plus propres à anéantir enfin les suppôts de la chicane *… » écartent toute équivoque, et révèlent, sans doute possible, que les réponses qui les contiennent ne sont point des lettres privées. Pour une autre lettre, publiée dans le n° 555 de L'Ami du Peuple (20 septembre 1791) et intitulée Lettre de l'Ami du Peuple à M" F..., aucun indice ne permettrait de se prononcer, si Marat, là encore, ne venait à notre aide. Dans un placard qui a pour titre Marat, l'ami du peuple, à ses concitoyens les électeurs, et qui

. L’Ami du Peuple, n° 287 (21 novembre 1790).

. Ibid.

. Ibid., n° 335 (9 janvier 1791).

. Ibid., no 345 (19 janvier 1791).

Ibid.

. Ibid., n° 410 (25 mars 1791). -

. Publiciste de la République française, n° 212 (40 juin 1793). + Ibid., n° 227 (27 juin 1793).

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