La France sous le Consulat
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les moindres manifestations de l'opinion publique jusqu'aux chansons et aux propos de café.
Aussi tient-il à être renseigné quotidiennement et minutieusement. Tous les soirs, le préfet de police lui rend compte de la situation de Paris par un bulletin « contenant
les faits survenus dans
— - la journée et dignes de quelque attention, le nombre et le motif des arrestations qui avaient lieu dans les vingt-quatre heures ; l'état des approvisionnements et des marchés »; plus « toutes les notes particulières qu'on croyait utiles de mettre sous ses yeux ‘. » Lorsque la paix avec l’Angleterre lui « permet de
? re a : cannes Sifredus Tpéscopus Monte Folici —= 5 CSCRPÈE plus par lier Cornet Valreacensis SRE. Lräbytr Cardinal cel culièrement de la po-
a SSD.N PIO PP VI à Consistori secret Faleti e né Feria VI 2: Rbraaré 1194 lice », il prévient FouRTE ché qu'il « désire étre instruit de tout dans le plus grand détail, et travailler avec (lui) au moins une et souvent deux fois par jour, lorsque cela sera nécessaire ». « En général, ajoute- t-il, je désire qu indépendamment de la conversation vous me laissiez des notes à mi-marge sur les décisions que vous me
demanderez, afin de pouvoir mettre les réponses à côté”. »
CarpiNaz Maury (1746-1817).
1. Pasquier, 1bid. 2. À. Fouché, Corresp., t. VII, 24 février 1802.